SECOND JOUR DE ROCH 'HODECH Seizième jour de l'Omer
On dit une fois devant mon père (le Rabbi Rachab), au cours d'un Farbrenguen, pendant la période de l'Omer, dans les années 5651-5653 (1891-1893): “Les 'Hassidim de l'Admour Hazaken comptaient toujours (les jours de ce mois ont un point commun: le compte de l'Omer).” Cette affirmation plut beaucoup à mon père. Il dit: “Cette idée caractérise le service de D.ieu de l'homme. Les heures doivent être comptées également. Alors, les jours sont comptés. Lorsqu'un jour s'écoule, on doit savoir ce qu'on y a réalisé et ce qu'il reste encore à accomplir. De façon générale, il faut que demain soit bien meilleur qu'aujourd'hui.”.
Les forces de Tsahal ont détruit en fin de semaine dernière un nouveau tunnel souterrain qui avait déjà atteint le territoire de l’Etat d’Israël. L’information a été autorisée à être publiée dimanche matin.
Le porte-parole de Tsahal, Ronen Manlis a précisé qu’il s’est agi du cinquième tunnel du genre détruit ces derniers mois par l’armée en territoire israélien. Ce tunnel partait de la région de Jabaliya, au nord de la bande de Gaza, sur plusieurs kilomètres. A Tsahal on estime que l’infrastructure des tunnels terroristes du Hamas devrait être détruite d’ici la fin 2018.
Le Rabbi atteignit sa maturité au milieu de la Première Guerre mondiale, qui éclata moins d’un an avant la célébration de sa Bar Mitsva. Les Juifs proches du front furent contraints par décret gouvernemental de fuir vers l’est, et la ville natale du Rabbi, Yekaterinoslav (aujourd’hui Dniepropetrovsk) dans l’est de l’Ukraine, reçut un grand afflux de réfugiés. Le Rabbi évoqua un jour comment sa mère, la Rabbanit ‘Hanna, était en première ligne de l’effort communautaire pour fournir aide et secours à ces malheureux, dont beaucoup étaient arrivés en ville sans aucun moyen de subsistance :
« De manière générale, j’étais occupé avec mes études, et je n’étais pas tellement impliqué dans les affaires de la maison. Je ne demandais pas ce qui se passait, etc. Mais il y avait des circonstances extraordinaires qu’on ne pouvait s’empêcher de remarquer... C’était une chose merveilleuse, je n’ai jamais vu une telle implication et un activisme aussi vigoureux, de jour comme de nuit... Le travail de ma mère fut si exceptionnel qu’il est gravé dans mon esprit pour le reste de ma vie. »1
Yom hashoah Chabad on campus Marseille: meir Marius levy avait 13 ans en 1942. Il en a 88 aujourd'hui et nous fait partager son histoire et son expérience.
Les Farbrenguens du troisième repas du Chabbat, ceux du Chabbat qui bénit le mois, des jours de fêtes, des Roch 'Hodech et des célébrations 'hassidiques ont lieu à la synagogue. Les Farbrenguens de Melavé Malka (à l'issue du Chabbat) se déroulent au domicile des 'Hassidim.
Il était 04H00 à Damas quand le président américain a annoncé ces frappes depuis la Maison Blanche. Au même moment, des détonations résonnaient dans la capitale syrienne, ouvrant un nouvel épisode de tensions diplomatiques et militaires dans la guerre sanglante et complexe qui ravage ce pays depuis sept ans.
"J'ai ordonné aux forces armées des Etats-Unis de lancer des frappes de précision sur des cibles associées aux capacités du dictateur syrien Bachar al-Assad en matière d'armes chimiques", a lancé M. Trump. "Une opération combinée est en cours avec la France et le Royaume-Uni", a-t-il ajouté.
Le régime syrien et ses alliés russe et iranien ont aussitôt condamné.
Les autorités à Damas ont fustigé une "agression barbare et brutale" et accusé les Occidentaux de chercher à entraver une mission de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), dont une équipe doit entamer samedi à Douma, près de Damas, son enquête sur une attaque chimique présumée menée le 7 avril.
Avant les frappes, Washington avait toutefois assuré avoir "la preuve" de l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien.
La Russie, qui a affirmé que la défense antiaérienne syrienne avait intercepté 71 missiles de croisière sur 103, a dénoncé ces frappes "avec la plus grande fermeté" et convoqué une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU.
Par la voix de son ambassadeur aux Etats-Unis Anatoli Antonov, Moscou a aussi estimé que ses mises en garde n'avaient pas été entendues et que ces frappes étaient une "insulte" au président Vladimir Poutine.
Dans le Dvar Mal’hout sur les Parachiot Tazria-Metsora, le Rabbi explique que les signes de la lèpre apparaissent sur la peau de celui qui n’a pas encore accompli dans son service divin un certain travail.
Cependant, à l’exception de ce manque particulier, la situation spirituelle générale de cet homme ne manque pas d’intégrité. Qu’il s’agisse de ses actions, ou bien qu’il s’agisse des forces de son âme.
Le Rabbi souligne que les signes de la lèpre, qui n’apparaissent que sur l’extérieur de la peau, témoignent du fait que le mal n’atteint pas les forces de son âme, il est seulement superficiel, ‘à l’extérieur de la peau’.
Des 'Hassidim demandèrent à l'Admour Hazaken: - Quelle est la forme du service de D.ieu la plus élevée, l'amour de D.ieu ou l'amour d'Israël? Il répondit: - L'amour de D.ieu et l'amour d'Israël sont tous deux ancrés dans la Nechama, le Roua'h et le Nefech, les trois parties de l'âme possédée par chaque Juif.
Le verset dit clairement: «Je vous ai aimé, dit l'Eternel». Il en découle que l'amour d'Israël est plus élevé, car on aime ceux qu'aime Celui que l'on aime.
De nombreux mystères théologiques ont rendu les savants perplexes au fil des âges, mais les gens du commun ne perdent pas le sommeil à cause de ces énigmes. Il est en revanche difficile de rencontrer quelqu’un qui n’ait pas été dérangé par le fait que D.ieu a permis que les atrocités de la Shoah soient perpétrées contre tant d’hommes, de femmes et d’enfants innocents. La question serait valable quelle que soit l’identité des victimes d’une telle indescriptible cruauté, mais elle est amplifiée par le fait qu’il s’agissait de la nation choisie par D.ieu, Son précieux peuple qui Lui était demeuré tenacement fidèle malgré des millénaires d’humiliation et de persécution.
Mais si l’Holocauste est l’un des exemples les plus aigus de souffrances insondables infligées à des victimes innocentes, c’est quotidiennement que nous sommes confrontés à des questions similaires : pourquoi les justes souffrent-ils ? Pourquoi D.ieu permet-Il que des enfants innocents soient victimes de maltraitance ? Quelle peut-être la raison d’un drame comme celui du 11 septembre 2001 ? Où D.ieu se trouvait-Il pendant que Ses enfants étaient méprisés, exilés, persécutés et massacrés pendant 2000 ans ?
Ce qui est permis mais n'est accompli que pour son plaisir est totalement mauvais, comme l'explique l'Admour Hazaken (Tanya Chapitre 7). Car il est dit «sanctifie-toi dans ce qui t'est permis». Il faut donc pénétrer de Sainteté les choses permises en en faisant des instruments de renforcement de la Torah, des Mitsvot, de la crainte de D.ieu et des traits de caractère positifs.
Une famille de Crown Heights a visité l'exposition universelle de miniatures Gulliver's Gate, pendant Hol Hamoed Pessa'h, c'est ainsi qu'ils ont découvert deux structures conçues par le mouvement Habad.
Les structures mises en place annuellement par Habad dans deux attractions touristiques populaires aux États-Unis et en Europe ont été incluses dans Gulliver's Gate, un modèle miniature de 40 millions de dollars qui représente 50 nations.
L'exposition remplie de monuments et de merveilles du monde est exposée à Times Square à New York. elle comprend en modèles miniatures, 1000 trains, 10 000 voitures et 100 000 personnes.
La crainte de D.ieu est une mitsva très libératrice.
On peut représenter les choses commeça : il y a deux forces qui dressent le décor de votre rôle sur cette terre, l’amour et la crainte. Les plus petites choses dans la vie sont celles que vous aimez et craignez le moins. Les plus grandes, sont celles que vous aimez et craignez le plus.
Avec l’amour, vous fixez vos objectifs. Avec la crainte, vous fixez vos limites. Quelqu’un qui craint l’échec est destiné à ne pas prendre de risques. Quelqu’un qui a peur des autres est étranger à lui-même. Quelqu’un qui a peur de la vie n’a pas d’espace pour respirer.
La Torah nous libère en déclarant qu’il n’y a qu’une seule chose digne d’être crainte et ce n’est pas l’échec, pas les autres, pas même la mort. La seule chose à craindre est Celui qui est au-delà de toute chose et à l’intérieur de toute chose, Celui que nous appelons D.ieu.