Trente sept familles de Chlou'him de toute l'Asie participent au Kinous annuel qui se tient cette année à Bangkok, Thaïlande. Il a commencé dimanche dernier et a pris fin jeudi.
Les soixante dix sept enfants des Chlou'him y participent également. MyShliach, a organisé pour eux, une colonie de vacances.
Pour assister à ce Kinous, les Chlou'him ont voyagé du Cambodge, de Chine, de Hong Kong, d'Inde, de Thaïlande, du Népal, du Japon, de Corée du Sud, de Singapour, du Vietnam et de Taiwan.
Les thèmes généraux du Kinous sont le Hakhel et l'Ahdout. Des conférences, des cours et des ateliers sur des sujets comme la cacherout, l'éducation, la conversion, les sept lois noahides ainsi que le fait d'élever des enfants loin d'une communauté juive, sont organisés.
Le Rav Moché Kotlarsky, vice-président du Merkos et président du Kinous Hachlouhim international qui est particulièrement impliqué dans les activités des Chlouhim en Extrême-Orient et le Rav Yekoutiel Farkash, Possek Halaha de Jérusalem ont assisté à ce Kinous.
Trente sept familles de Chlou'him de toute l'Asie participent au Kinous annuel qui se tient cette année à Bangkok, Thaïlande. Il a commencé dimanche et prendra fin jeudi.
Les soixante dix sept enfants des Chlou'him y participent également. MyShliach, a organisé pour eux, une colonie de vacances.
Pour assister à ce Kinous, les Chlou'him ont voyagé du Cambodge, de Chine, de Hong Kong, d'Inde, de Thaïlande, du Népal, du Japon, de Corée du Sud, de Singapour, du Vietnam et de Taiwan.
Les thèmes généraux du Kinous sont le Hakhel et l'Ahdout. Des conférences, des cours et des ateliers sur des sujets comme la cacherout, l'éducation, la conversion, les sept lois noahides ainsi que le fait d'élever des enfants loin d'une communauté juive, sont organisés.
Le Rav Moché Kotlarsky, vice-président du Merkos et président du Kinous Hachlouhim international qui est particulièrement impliqué dans les activités des Chlouhim en Extrême-Orient et le Rav Yekoutiel Farkash, Possek Halaha de Jérusalem ont assisté à ce Kinous.
Un Sefer Torah à été inauguré la semaine dernière à Bangkok, en Thaïlande, à la mémoire de Haya Mouchka a"h Ashkenazi, la fille des Chlouhim, Rav ELiezer et Rahel Ashkenazi, qui avait quitté ce monde en 2009 à l'âge de 7 ans, suite à une grave maladie.
La capture par la police thaïlandaise d'un suspect libano suédois appartenant au Hezbollah a déjoué une attaque terroriste contre le Bet Habad de Bangkok qui aurait impliqué la prise d'otages et la destruction du bâtiment. Il devait suivre les grandes lignes de l'attaque contre le centre Habad de Bombay qui avait tué huit juifs et israéliens, mais en plus ambitieux. Le centre Habad de Bangkok est plus grand, disposant de dizaines de chambres. Une seconde équipe devait attaquer la rue Khao San, remplies de restaurants populaires auprès des israéliens et des américains.
C'est la première fois que des agences de renseignement israéliennes et occidentales trouvent des preuves que le Hezbollah chiite libanais s'entraîne et utilise des techniques terroristes comme celles d'Al-Qaïda.
Selon des renseignements publiés par le site israélien DEBKA, deux voir trois cellules terroristes devaient passer à l'action en même temps ce mois. Le seul suspect en garde à vue en Thaïlande est Atris Hussein, 47 ans, qui a été arrêté dès qu'il a atterri à l'aéroport international de Bangkok jeudi 12 janvier.
Il a d'abord nié sa connexion avec le Hezbollah, affirmant qu'il était en vacances. Dimanche il craqué pendant son interrogatoire et a avoué être en mission pour attaquer des sites juifs, israéliens et américains, et que des matières explosives ont été préparées à l'avance par une autre équipe du Hezbollah, qui avait désigné les objectifs et informé les futurs auteurs.
Les autorités thaïlandaises estiment que chaque équipe était composée de deux ou trois membres, tous transportant des passeports européens ou des émirats du Golfe Persique.
Lundi 16 janvier, Hussein a conduit la police à une adresse qu'il a reçue de ses supérieurs du Hezbollah au Liban, dans la province de Samut Sakorn dans la banlieue de Bangkok. Les policiers y ont découvert une cache de 4 000 kilos d'engrais et de 10 litres de nitrate d'ammonium, des composés utilisés dans la composition d'explosifs. Les matériaux n'avaient pas encore été assemblés, indiquant que le passage à l'acte n'était pas encore tout à fait immédiat.
La police thaïlandaise attendait le suspect à l'aéroport après avoir reçu des messages d'alerte des agences de renseignement des Etats-Unis et d'Israël. Ce sont apparemment des ressortissants libanais vivant à Bangkok qui ont prévenu directement les Etats-Unis et les israéliens, ne faisant pas confiance aux autorités thaïlandaises. Israël et les Etats-Unis ont immédiatement publié un message d'alerte terroriste à destinations des voyageurs. Ces alertes sont toujours en vigueur.
Une chasse à l'homme se tient en Thaïlande, mais aussi en Europe et au Proche Orient pour mettre la main sur les complices du terroriste arrêté jeudi. Certains pensent que les autres terroristes ont déjà quitté la Thaïlande, soit directement par avion soit via le Laos, d'autres pensant au contraire que les terroristes sont toujours en Thaïlande, cachés, attendant une nouvelle opportunité de perpétrer leur attentat.
"La sécurité est garantie, assure la Première ministre", titre le quotidien de Bangkok au-dessus d'une photo d'une fouille des bagages dans le quartier des routards de Khao San Road, alors que 14 pays ont émis une alerte face aux risques d'un attentat et qu'un suspect libano-suédois lié au Hezbollah a été interpellé. La police est à la recherche d'un autre homme originaire du Proche-Orient. Le ministre de la Défense thaïlandais a précisé que l'objectif de ces terroristes était de frapper des endroits publics concentrant des Israéliens et des Américains.
Depuis plusieurs semaines, la Thaïlande est en proie à de fortes inondations causant de nombreuses pertes humaines et matérielles. Le bilan actuel est de 122 morts et six millions de personnes touchées.
Selon le département de prévention des catastrophes naturelles, le bilan total s’élève à 122 victimes. Les inondations ont touchés six millions de personnes, la plupart ayant perdu leur maison, leur ferme ou leur bétail.
Par ailleurs, jeudi matin, une centaine de touristes étrangers étaient toujours coincés dans leurs hôtels. Un certain nombre avait déjà été évacué de l’île de Koh Tao, mercredi.
Des milliers de soldats ont été envoyés dans la région sud du pays où le niveau des eaux commence à baisser. Deux navires militaires ont acheminé des médicaments et des équipements logistiques.
S’étant préparée à la montée des eaux du fleuve Chao Praya, Bangkok a pour l’instant été épargnée. Au total, 50 des 76 provinces ont été touchées par les inondations.
Beaucoup de touristes israéliens ont fui leurs hôtels pour l'endroit le plus sûr: le Beth Habad de Bangkok. Vendredi, de nombreux voyageurs venus de toute la Thaïlande sont arrivés au Beth Habad.
Parfois, tard dans la nuit, on pouvait entendre des explosions et des tirs. Le mois dernier un garde spécial à été posté près de l'immeuble à l'entrée du Beth Habad situé dans le centre ville.
Pendant les prières du Chabbat, un merveilleux sentiment d'unité a été ressenti. Comme toujours, le Rav Nehemia Wilhelem a reçu chacun avec le sourire.
Tous les invités se sont joints pour le repas de Chabbat dans la grande salle de réception accompagné de chants de Chabbat, comme si il n'y avait jamais eu de couvre-feu dans la ville où, il y a quelques jours seulement, des émeutes ont causé la mort de plus de 80 personnes.
Le repas de Chabbat s'est prolongé jusqu'à 2h du matin : "Tout le monde a oublié le couvre-feu et se sentait comme si il se trouvait à la maison et non à Bangkok. Rav Wilhelem nous a dit que si un policier nous arrêtait dans la rue, il suffisait de lui dire que nous sommes des invités du Beth Habad". Un groupe de Bahourim venus aider le Beth Habad a reçu l'autorisation de la police de circuler même pendant le couvre feu.
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Le ministère des Affaires étrangères a réitéré sa demande auprès des citoyens israéliens se trouvant à Bangkok d’éviter les agglomérations. Le gouvernement regrette de ne pas avoir été suffisamment écouté. Le porte-parole du ministère, Yossi Lévy, s’est adressé aux voyageurs, alors que les émeutes en Thaïlande ont fait à ce stade déjà 22 victimes:
«À ceux qui jugent leur présence indispensable, nous demandons de réduire leur séjour au maximum et d’éviter les lieux où la population est fortement concentrée, ainsi que les secteurs dans lesquels se tiennent les manifestations. » L’accent est mis sur la capitale thaïlandaise, Bangkok. La tension semble devoir s’accentuer dans ce pays d’Extrême-Orient, après trois journées consécutives d’émeutes sanglantes. Le Premier ministre thaïlandais a en effet soutenu l’emploi de la force armée contre les manifestants dits des «Chemises rouges».
Ces émeutes ont fait au moins 157 blessés, dont deux soldats. D’autre part, deux journalistes locaux et un photographe canadien comptent parmi les blessés. Les manifestants ont jeté pour leur part des bombes artisanales contre les forces de l’ordre, ainsi que quelques roquettes.
le Chaliah Habad à Bankok, le Rav Nehemia Wilhelm dit qu'il a reçu de très nombreux appels téléphoniques de touristes israéliens qui se trouvent au nord de la Thailande inquiets de savoir si ils peuvent se rendre à Bangkok.
Un fort séisme de magnitude d'au moins 7,5 s'est produit dimanche au large de l'île de Sulawesi, dans l'est de l'archipel indonésien, déclenchant brièvement des alertes au tsunami qui ont ensuite été levées. La secousse a provoqué la panique parmi les habitants des villes côtières, mais ont ne faisait dans un premier temps état ni de victimes ni de dégâts importants.
D'après l'Institut géologique américain, l'épicentre du tremblement de terre se trouvait à 21km de profondeur sous la mer, à 135km de Gorantalo, ville côtière de Sulawesi. L'Institut américain parle d'une magnitude de 7,5, tandis que Fauzi, responsable de l'agence géologique indonésienne, parle lui de 7,7. La première secousse a été suivie d'une forte réplique.
Une heure après le séisme, ce même responsable a décrété que la menace de tsunami était passée.
Un séisme de cette magnitude peut engendrer un raz-de-marée dévastateur, et ce jusqu'à un millier de kilomètres de l'épicentre, selon le Centre du Pacifique d'alerte aux tsunamis.
Selon Robert Bano, habitant de Gorantalo, les maisons ont tremblé pendant plus de deux minutes et les gens ont pris la fuite, courant se réfugier sur les hauteurs. A Poso, des témoins ont raconté qu'un hôpital avait évacué ses patients.
En décembre 2004, un puissant séisme au large de l'île de Sumatra avait déclenché un tsunami qui frappa une bonne partie des pays riverains de l'Océan Indien, faisant plus de 230.000 morts, dont 131.000 dans la seule province indonésienne d'Aceh.
L'année dernière, un tsunami au large de l'île de Java avait fait au moins 5.000 morts.
BETH HABAD 
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Un Sefer Torah à été inauguré la semaine dernière à Bangkok, en Thaïlande, à la mémoire de Haya Mouchka a"h Ashkenazi, la fille des Chlouhim, Rav ELiezer et Rahel Ashkenazi, qui avait quitté ce monde en 2009 à l'âge de 7 ans, suite à une grave maladie.
